Je ne ferai jamais partie d'un club qui veuille m'avoir comme membre.

lundi 30 novembre 2009

Aujourd'hui, une minute de silence pour les disparus et regrettés



Professeur Debbie



et Muze





Pfff, j'ai pu qu'à m'abonner aux cahiers du cinéma, moi...

Edit: Ha bah elle a retrouvé son chemin.
Edit bis: La bougresse!

dimanche 29 novembre 2009

Votre bloggeuse aime... Les flover movies

Flover : F. movie: catégorie cinématographique de mon invention, résultant de la contraction des mots "flower" et "lover"où l'ont trouve les éléments qui suivent.

D'abord, tout flover movie a pour objet principal une histoire d'amour. Le flover movie est forcément anglais et se situe dans la campagne -anglaise, on vient de le dire- du 19ème siècle. Le flover movie remplace les dessins animés disney chez les adultes, car, je l'admets, le flover movie est un peu mièvre.

Le Flover Movie racontant une histoire d'amour

Mais le flover movie n'est pas un navet. Il a une jolie musique (baroque, ou classique) et est finement ciselé. Le flover movie est très esthétique, on a donc droit a de jolis costumes qui mettent en valeur le dos et à de très jolis payasages faits de bocages.

Votre bloggeuse n'a pas trouvé de meilleure image pour illustrer la mise en valeur du dos que cette photo de l'actrice du personnage du F.M et de son metteur en scène, Joe le vénéré.

Les personnages lisent, se promènent, écrivent des lettres et prennent le thé. Ils sont très polis, font des révérences, mais le feu brûle en eux.

Le personnage du Flover Movie se promenenant dans la campagne anglaise

Le flover movie est souvent l'adaptation d'un roman de Jane Austen ou des soeurs Brontë.

L'archétype du Flover Movie, racontant l'histoire de Jane Austen


James et Matthew, les amoureux taciturnes. Sauf que l'un est plus imberbe que l'autre. Peu me chaut, they are must guys.

lundi 23 novembre 2009

Voyage voyage

Aujourd'hui, chers amis, du dépaysement.
Du trip.
De la sensation forte.
Du kilomètre parcouru.
De la découverte.
Du Christophe Colomb.
Car oui, je vous emmène in THE towns. LES villes que je citerais si, sur mon lit de contaminée par la grippe A en stade terminal, on me braquait un néon dans les yeux en me demandant lesquelles m'ont marquée. Ces villes, ladies & gentlemen, sont...


La Rochelle

A côté de laquelle j'ai vécu de un à quatre ans et demi. Parce que déjà, il y a un très joli port, que c'est une vieille ville toute pleine d'arcades, et tout ça. Mais aussi parce que c'est assez grand. Et qui dit grand dit magasins à donf. Sauf que ce sont les plus jolies boutiques que j'ai jamais vues puisque_ relisez plus haut_ elles sont bordées d'arcades. Alors oui, c'est pompe l'air parce que le passage est étroit et qu'on se prend sans arrêt des coups de sac. Mais grâce aux arcades, Eurodif est un joli magasin. D'extérieur en tout cas. Et, autre positive point, La Rochelle a sa boutique Petit Bateau, son glacier qui fond sous la langue (Ernest, si tu m'entends), SES cinémaS, sa rue spéciale ados au budget restreint (Pimkie, Claires, Texto, Xanaka, Sephora, Accessorize, Promod) où on trouve parfois des trucs pas mal (genre mon sweat en mouton tout doux bleu marine). Non, vraiment, La Rochelle, ça en jette.




Nouillorque sittie

Rien que d'en parler ça m'émeut (comme une vache) (émeuhhh) (haha). New York, c'est extraordinaire. LA ville. A la fois immense, plus que Paris, mais avec un franche air de déjà vu. A New York, tu es dans tout les films qui y ont été tourné. Et aussi dans la ville de Wall Street. Là où 2 tours + Oussama ça fait boum. Là où King Kong et Spiderman ont vadrouillé. Où les vendeurs de hot dog ont un accent qui fait trembler les murs (et qui te rend godiche parce que tu don't eun'deurrstande). New York, Ouahou.





Lannion

Presque aussi grand (20 000 habitants). Lannion a sa Seine (Le Léguer), son cinéma art et essais, des jolis parcs (dont le parc des pédés), son secours populaire, son comptoir irlandais, sa boutique Kookaï, son domac ET son Quick (Nous, c'est le goût) (Et la graisse, on s'en fout!). Mais en plus, cette petite cité bretonne a un vieux centre ville qui fleure bon le Moyen âge, les contes, les légendes. Brocéliande à la ville, quoi. En plus, j'y habite, ce qui n'ôte rien à son charme. Au contraire.




Lucques

Oubliez Rome (trop grand), Florence (il fait chaud et ça pue) et Venise (à la limite). Car aujourd'hui j'ouvre votre esprit en vous présentant le Lannion italien. Genre la ville ni trop petite ni trop grande. Plein de petites boutiques, dont une avec autant d'accessoires & bijoux que de microbes sur les mains (Solution Hydroalcoolique, les gars!). Et moi je suis une fille accessoires et bijoux. J'en reparlerai. Plein de chaussures, aussi. Et des glaces. Une place toute ronde au milieu où Buenavista social club est venu cet été (hé oui, pas paumée la city). Et surtout, surtout, il a plein de petites ruelles dorées. Et je peux te dire que quand tu te promènes sur le pavé bien chaud et que par une fenêtre ouverte un pianiste du dimanche fait profiter les passants de son art, et qu'en plus il joue Love Story, et ben t'es tellement content que tu le racontes sur ton blog!





Oxford

De toute façon j'adore l'Angleterre, et j'adore le preppy (back to Love Story). J'ai été à Oxford au collège et ça fleure bon l'élève studieux et brilliant, l'Airmione Grangé, les cerisiers roses et blancs, la vieille bibliothèque. Le monastère du savoir, où tu médites en déambulant avec une robe d'étudiant qui balaie les fleurs au printemps, les feuilles en automne, tout en serrant contre ta poitrine un livre très intéressant. Ou un cahier Oxford, tiens!



dimanche 22 novembre 2009

Nos stars hollywoodiennes

La semaine dernière, je suis allée au festival du film de Sarlat. Et ayant rencontré Clovis Cornillac au cours de sa conférence de presse dont le sujet était La Sainte Victoire, son dernier film avec Christian Clavier, qui traitait de la corruption politique (c'est vrai que Clavier est on ne peut mieux placé pour dénoncer ce genre de pratique)...


Chris', un mec engagé du bon côté.

Ayant, donc, rencontré le fameux Clovis, je peux témoigner de sa finesse d'esprit et de son self-contrôle, aussi développés que ceux de ses personnages.


Cloclo, un gros lourd*, avec "l'animateur du débat", aussi lourd, mais détenteur d'un sens de la flatterie aigu à vous donner la migraine.





Tout ça pour vous dire qu'entre le club "Bronzés - Bling bling" et le club un intègre-intello, je choisi les chiants. A savoir:



La maline Catherine qui en plus a une classe folle.
Oui oui oui, je l'ai vu de mes yeux vu (et elle sent bon en plus)



Le super Albert qui s'est pertinemment tiré du studio d'enregistrement du journaliste qui n'avait même pas vu son film.
Moi je l'ai vu, Al'! et je l'ai trouvé super! Love, mec!



La fine Sabine qui, si elle cache bien son potentiel capillaire, est une bête de meuf dans Les Herbes Folles.
Azé, je te kiffe.



Le désiré André : quel homme, quel homme.
"Qu'est-c'que j'fais? J'le tue?"





*qui soit dit en passant, s'est assommé sur la table en voulant faire une blague: une nana lui a niaisement demandé s'il supportait bien de jouer des personnages aussi fort, et il a dit "Euh pour tout vous dire..." avant de laisser tomber sa tête sur la bois bien dur, genre la dépression fait s'écrouler la tête en pleine conférence En plus après il avait une grosse bosse et il faisait comme si de rien était. Breeeeef: Clovis, un homme aussi pondéré et subtil que comique!


dimanche 8 novembre 2009

L'Homme

Je ne suis pas une fille bédé.

Bon, comme tout le monde, j'ai lu Astérix, Lucky Luke, Titeuf et même Gaston Lagaffe. Les Gosses aussi. Et je suis sûre que j'aurais adoré Marvel si il avait été de ma génération. En tout cas, j'adore l'ambiance maintenant, et c'est ça qui compte.

J'étais donc au stade 1 de la bédé. Le minimum syndical, quoi.


Et un jour, ou peut-être une nuit (!). Je ne me souviens pas des circonstances exactes puisque ma découverte a eclipsé tout le reste. Je me croyais alors condamnée à lire Les Gosses et co jusqu'à ma mort. Et puis, j'ai rencontré...












THORGAL


Celui qui m'a fait aimé la bédé, la vraie. Avec de la guerre, des dents serrées, du muscle saillant, de l'amour, de la trahison, du monde parallèle, du suspense, de la palpitation.

Thorgal vit chez les vikings, mais c'est le dernier descendant des hommes des étoiles. Il est fort et il déteste la violence gratuite.


C'est un homme sensible.

Et comme il est fort, il peut se permettre d'assumer ses idées pacifistes dans un monde de barbares.

Et, donc, il va dans plein de monde parallèles.

Et c'est un homme de papier très sex, surtout quand il est en couche culotte de viking

Thorgal ne vit que pour sa petite famille







Mais heureusement, la méchante Kriss de Valnor est là pour rétablir l'équilibre